La cotation kiné ou cotation des actes en kinésithérapie est un élément essentiel de la gestion d’un cabinet. Savoir appliquer correctement la nomenclature générale des actes professionnels (NGAP) garantit une facturation précise. Cela améliore la gestion administrative et permet de maximiser les revenus.
Qu’est-ce que la cotation kiné ?
Le système de cotation en kinésithérapie repose sur la NGAP, qui établit les normes pour les actes facturables par les kinésithérapeutes. Depuis 2025, des ajustements ont été apportés pour refléter les besoins actuels de la profession, intégrant de nouvelles modalités pour certaines affections et pathologies spécifiques. Ces modifications impactent directement la facturation, exigeant des kinés une bonne compréhension des nouvelles règles.
Comment fonctionne la cotation des actes kinésithérapeutiques ?
Les lettres clés AMK et AMC sont des codes de base utilisés pour facturer les actes de kinésithérapie. AMK est destiné aux actes standards comme la rééducation des membres inférieurs. Au contraire, AMC s’applique aux interventions plus spécifiques, par exemple, les soins respiratoires. Ces lettres clés sont associées à des coefficients, qui, multipliés par un tarif de base, déterminent la facturation finale.
Calcul du coefficient de cotation pour chaque acte
Le coefficient de cotation varie selon le type d’acte pratiqué. Par exemple, la rééducation orthopédique ou post-opératoire dispose de ses propres coefficients. Ainsi, une séance de rééducation du rachis avec un coefficient spécifique peut se traduire par une cotation précise. C’est essentielle pour la facturation.
Exemples de cotations pour les actes les plus courants
- Cotation pour la rééducation du rachis
La rééducation du rachis et des membres supérieurs présente des spécificités, notamment pour les affections du rachis ou les douleurs chroniques. Ces actes sont facturés sous des cotations spécifiques. Cela garantit une prise en charge adaptée au niveau de complexité de chaque soin.
- Cotation des actes post-opératoires
Les actes post-opératoires, comme la rééducation après une prothèse ou une ligamentoplastie, suivent des règles de cotation propres. En respectant les coefficients associés, le kinésithérapeute peut facturer les soins en adéquation avec la gravité et la durée du traitement.
Comment simplifier la gestion de la cotation avec un logiciel de facturation ?
Les logiciels de facturation, tels que Topaze, sont des alliés précieux pour les kinésithérapeutes, intégrant automatiquement les mises à jour de la NGAP et facilitant la gestion des cotations. En effet, ces outils permettent de précoter les actes, réduisant les erreurs et augmentant la précision.
Les logiciels modernes comme Topaze offrent l’automatisation de la facturation et la télétransmission directe des actes.
Pour conclure, grâce à la maîtrise des lettres clés et à un logiciel de facturation performant, la gestion des cotations en kinésithérapie devient claire et optimisée. Les kinés peuvent ainsi se recentrer sur leurs soins, tout en bénéficiant d’une gestion administrative simplifiée et rentable.
Avec Topaze Air Kiné, la gestion de la nomenclature est facilitée : grâce à la recherche par mots-clés, il suffit de saisir par exemple “épaule” pour n’afficher que les actes associés. Un vrai gain de temps au quotidien.
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